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Retrouver une branche familiale inconnue grâce à l’ADN – 2

Ecrit par

Brigitte Billard

Publié le

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Etape 2 – Le patronyme commun



Entrons dans le vif du sujet avec une recherche « facile ». Votre correspondant ADN et vous-même avez un patronyme commun. 

Précisons tout d’abord qu’il est préférable de ne travailler que sur des correspondances d’au moins 20 cM, pour éviter de perdre votre temps sur des cousinages trop lointains, et donc difficiles à retrouver par les actes et les arbres.

Comme toute théorie, ce principe a des exceptions, dont la première est que votre correspondance a indiqué dans les patronymes de son arbre un patronyme que vous avez aussi dans votre ascendance. Evitez bien sûr les Dupont, Martin, Müller, Moreau ou autre Wagner. Mais si vous tombez, comme ça a été le cas pour moi, sur le patronyme de Pittaluga, ou celui de Sinsout, pourquoi ne pas essayer de trouver une connection.

Un patronyme commun et un arbre en ligne

Premier cas simple, à la portée du généalogiste débutant.

En plus du patronyme commun, votre correspondance a mis en ligne son  arbre sur 6 ou 7 générations . L’enquête est quasiment terminée avant d’avoir commencé. 

Si vous avez aussi mis en ligne un arbre, que dans les deux arbres votre couple d’ancêtres communs apparaît et que la correspondance ADN calculée entre vous est cohérente, Ancestry ou MyHeritage feront directement la connection pour vous.

Voici par exemple ma correspondance avec mon lointain cousin JPF sur le site Ancestry.

Quand j’ai trouvé la correspondance, je n’avais qu’Anne Marie Marchese – et ses parents, nos ancêtres communs – dans mon arbre, et JPF n’avait lui que Paolo et Angela. Mais dans les patronymes de sa fiche, il avait bien Marchese, Pittaluga, et Ancestry nous avait proposé cette correspondance. Nous avons pris contact, confirmé notre cousinage, avons échangé des informations – c’est grâce à lui que j’ai découvert mon cousin bagnard en Nouvelle Calédonie – et mis à jour nos arbres, pour avoir maintenant à l’écran cette correspondance « génético-généalogique ». 

Notre correspondance partagée n’est que de 16,1 cM, mais avec l’indication des patronymes en commun, cela valait le coup de vérifier et confirmer la correspondance.

Cette confirmation de correspondance est particulièrement simple pour un généalogiste même débutant, surtout quand votre correspondant parle votre langue.

Un patronyme commun mais pas ou très peu d’arbre en ligne

Ne nous leurrons pas, très peu des personnes qui font tester leur ADN ont mis en ligne un arbre généalogique. D’ailleurs, vous-même, l’avez vous fait ? 

Ou bien si l’arbre est en ligne, il ne correspond qu’à deux ou trois générations, dont les premières sont privées et non consultables. 

S’il n’y a aucun renseignement utilisable, essayez de contacter votre correspondant, en lui donnant des éléments sur vous, éventuellement en indiquant le lien vers votre éventuel arbre en ligne sur une autre base de données. Votre correspondant vous répondra peut-être, pas forcément tout de suite, mais en généalogie, la patience est une vertu cardinale.

Mais en attendant qu’il réponde, ou avec les éléments disponibles, que pouvez vous faire ?

Prenons l’exemple d’une recherche que je suis en train de finaliser dans l’ascendance de mon mari, en France.

Appelons notre correspondance Elise pour les besoins de cette explication.

Elise et mon mari ont une correspondance ADN de 12,3 cM, soit nettement moins que le seuil théorique utilisable des 20 cM que je me suis fixée, suivant les recommandations des experts en généalogie génétique aux USA. Pourtant Elise a un semblant d’arbre en ligne, et donc quelques patronymes, parmi lesquels celui de Sinsout.

Si je clique sur le petit point d’interrogation à côté de la « Relation estimée » indiquée par MyHeritage, j’obtiens une visualisation du cousinage possible entre mon mari et Elise – Merci à Julie sur Twitter de m’avoir remis cette fonctionnalité en tête …

Avant que je contacte Elise, son arbre en ligne m’indique que la mère de sa grand mère maternelle s’appelle Elise Sinsous, née vers 1910. Je n’ai aucune correspondance dans mon arbre, et ce nom n’a aucune correspondance dans Geneanet ou Filae. Il est temps de contacter Elise.

Elise me répond rapidement mais n’en sait pas plus. En revanche, sa grand mère, la fille de l’Elise de l’arbre en ligne, est vivante et ma correspondante se propose de lui poser quelques questions le week end suivant.

Pendant ce temps, je commence mon enquête généalogique descendante, sur la famille de Marie Sinsous, l’arrière grand mère maternelle de mon mari. 

Le schéma de MyHeritage m’indique que la probabilité de cousinage avec Elise se trouverait au niveau des arrières arrières arrières grands parents de mon mari, ou même de la génération précédente, donc les générations 7 ou 8 de l’arbre sur lequel je travaille, c’est à dire celui de mes enfants.

A cette génération se trouve un couple, Jean Sinsous et Marie Faurie, vivant à Beleymas en Dordogne, entre 1774 et 1842. 

Quand je commence mes recherches, en août 2018, je n’ai travaillé que sur la branche descendante de mon mari, celle de Guillaume Sinsous, né en 1804. Mais Guillaume a trois frères, Jean – qui déclare le décès de sa mère, mais dont je ne trouve pas d’autre trace, et deux Guillaume, dont celui né en 1818 a une descendance. 

Pendant ce temps, ma correspondante, Elise la jeune, m’a donné la date et le lieu de décès de son arrière grand mère Elise Sinsous, et m’a indiqué que sa grand mère croyait se souvenir que le père de sa mère s’appelait Elie. Et Guillaume Sinsous a bien un petit fils qui s’appelle Elie et qui est né en 1876 à Beleymas. En 1910 il a donc 34 ans et peut avoir eu un enfant. 

Grâce à l’acte de décès d’Elise Sinsous, j’apprends qu’elle s’appelle en fait Marie Louise Sinsout, qu’elle est née en janvier 1910 à Saint-Perdoux, en Dordogne, d’Elie Sinsout et de Marie Dijaux. 

Malheureusement, l’état civil de la Dordogne n’est en ligne que jusqu’en 1901, tout comme les recensements. Mais les fiches matricules sont en ligne, et j’y trouve la fiche d’Elie Sinsout. Grâce aux localités habitées, j’ai la confirmation qu’à partir de 1905, Elie Sinsout habite à Saint-Perdoux.

Pour finaliser cette correspondance, il me faut le document officiel qui confirme que Elie Sinsout, descendant de Jean Sinsous et Marie Faurie, habitant à partir de 1905 à Saint-Perdoux, est bien le même que celui qui en janvier 1910 a eu une fille à Saint-Perdoux avec une certaine Marie Dijaux. A ce niveau de ma recherche, ma conviction intime est faite, mais il me faut une source qui la confirme : un acte de mariage ferait l’affaire.

Prendre en main des outils d’analyse

Profitons de cette recherche plutôt simple – et couronnée de succès dans un laps de temps très raisonnable – pour découvrir un des outils sur lesquels je reviendrai dans les prochains articles : The Shared cM Project.

Cette application web a été mise au point par Blaine Bettinger, un des meilleurs experts de la généalogie génétique outre atlantique, à partir d’une base de données de correspondances ADN trouvées et confirmées.

Vous indiquez la taille des centimorgans totaux que vous partagez avec votre correspondance ADN, et l’application vous indique quelles sont vos probabilités de cousinage – et les liens de parenté correspondant – et vous propose ces différents cousinages de façon graphique.

Cette visualisation ressemble à celle que vous propose MyHeritage, mais actuellement Ancestry ou FamilytreeDNA ne proposent aucun outil visuel de ce genre, et cet outil est donc un plus si vous avez fait votre test chez eux.

Et cet outil va aussi vous permettre d’avancer dans vos recherches, comme nous le verrons dans un prochain article.

J’ai repris ce tableau en français – mes traductions des liens de parenté n’engagent que moi – et voici à quoi correspondent les 12,3 cM que mon mari partage avec sa cousine Elise la jeune.

Conserver les correspondances dans son logiciel de généalogie

Après toutes les recherches engagées, j’ai donc retrouvé une branche familiale, je l’ai intégrée dans mon arbre, et je souhaite maintenant conserver dans Heredis les sources de cette correspondance.

J’ai commencé à réfléchir à une façon de procéder, même si je ne suis pas sûre qu’elle ne sera pas modifiée dans les semaines à venir.

J’utilise une Rubrique Personnelle d’Heredis, que j’ai clonée à partir de la Rubrique personnelle Santé et que j’ai appelée Correspondance ADN.

Dans la source, j’indique les références du kit ADN à partir duquel cette correspondance a été trouvée, et auprès de quelle société. J’indique en témoin l’autre partie de cette correspondance – par exemple ici dans la fiche de mon mari, j’indique Elise la jeune, créée dans ma généalogie, en témoin, et dans la fiche d’Elise, j’indique mon mari en témoin pour cette rubrique personnalisée.

Enfin, dans l’onglet Media, j’ajoute la capture d’écran de l’en tête de la correspondance ADN trouvée.

Bien sûr, cette Correspondance ADN est saisie dans les deux fiches qui la composent : celle de mon mari et celle de sa lointaine cousine.

L’abréviation MRCA que j’ai utilisée correspond à Most Recent Common Ancestors – ou Plus Recent Ancêtre Commun. Comme cette abréviation est communément utilisée maintenant sur les sites anglosaxons qui parlent de généalogie génétique, j’ai choisi de la conserver plutôt que de me créer une abréviation personnelle, que je risque d’oublier d’une fois sur l’autre.

Reste à savoir comment noter justement chez le couple d’ancêtre commun à mon mari et sa cousine cette information. Pour l’instant, je n’ai encore rien mis en place, et je n’ai pas encore d’idée bien définie. Mais j’ai encore bien peu de correspondances avérées – 4 au total pour l’instant – donc je pourrai faire une mise à jour de ma base Heredis quand j’aurai pris une décision.

Après cette recherche simple, je vous expliquerai dans le prochain article pourquoi tester plusieurs membres de sa fratrie a un sens quand on veut vraiment retrouver des cousins et des branches perdues de vue. Oui, mon ADN n’est pas celui de mon frère germain et utérin …..


13 réponses à “Retrouver une branche familiale inconnue grâce à l’ADN – 2”

  1. François

    Bonjour Brigitte, J’imagine que vous devez être très occupée mais je me permets tout de même de vous citer mon cas. Je recherche mon père biologique qui est très certainement décédé aujourd’hui. J’ai l’arbre généalogique complet de ma mère biologique. Sur le site Ancestry, j’ai plusieurs correspondants au-dessus de 20 cM dont un de 361 cM sur 18 segments (c’est le plus proche). Appelons-le Alpha car il ou elle fonctionne avec un alias. En faisant des recoupements avec l’arbre de ma mère biologique, j’ai identifié quelques correspondances qui viennent de mon côté maternel mais Alpha semble venir de mon côté paternel. J’ai fait défiler nos correspondances mais étant donné qu’il est le plus proche de moi, les autres ne font que de s’éloigner. J’ai tenté de correspondre avec Alpha mais je n’ai reçu aucune réponse jusqu’à date. Voilà…j’aimerais, si vous en avez le temps, que vous me guidiez dans la méthodologie à suivre pour me rapprocher encore plus de mon père biologique. Aussi, comment faire si le père et la mère biologiques sont proches parents?

    En passant, le site DNA Painter…super!

    Merci,

    François

    1. Brigitte

      Bonjour

      J’avais ébauché le sujet dans l’article suivant
      http://www.chroniquesdantan.com/adn-et-genealogie-genetique/retrouver-une-branche-familiale-inconnue-grace-a-ladn-6

      La 1ere étape est d’essayer d’identifier les personnes en correspondance avec votre mère. Si vous ne l’avez pas testée, avez vous des oncles ou tantes qui accepteraient de le faire ? Cela permettrait de plus facilement isoler les correspondances venant de votre père. Rien que cette première tache n’est pas simple
      Ensuite, si votre match de 361 cM – belle correspondance – peut etre identifiée comme étant du coté paternel, il va falloir trouver comment reconstruire son arbre. Avez vous des correspondances partagées avec lui? Même si elles sont moins importantes, elles peuvent vous permettre de trouver le lien entre eux, et à partir de là chercher le lien.
      Mais ne nous leurrons pas, une correspondance de cet ordre, mais qu’on ne puet rattacher à aucune arbre, trianguler avec personne ayant un arbre, n’est pas facilement exploitable.
      J’ai le cas pour deux amies que j’aide, et j’en suis exactement au même endroit qu’il y a 1 ans : nulle part. J’attends la correspondance qui permettra de debloquer la situation. Et c’est possible, dans un cas un peu différent, après 18 mois sans piste, je viens de debloquer une correspondance –

      Concernant les parentés avec implexe, c’est un cas que je maitrise mal – pourtant j’en ai un exemple proche chez moi – et je ne peux pour l’instant rien en dire de clair ou d’utile.

      Bonnes recherches, et surtout, patience
      Brigitte

  2. gil

    je vient de decouvrir un petit truc!
    vu que dans ma famille j ai 3 arriere grand-mere du nom de (Hardy) et j avais seulement 28 correspondances sur les 5200 personnes avec qui je partage mon adn
    et la j ai trouve pourquoi. hardy en anglais ca c écrit (Hard) donc avec ce nom j ai maintenant 617 correspondances ,ce qui est tres plausible !

  3. Loquen

    bonsoir
    j ai fait un test ADN qui m a trouve une correspondance de 0.3% avec une personne . je ne connais pas mon vrai pere car ma mere n a jamais voulu me dire son nom
    que puis je faire maintenant avec cette correspondance afin de retrouver mes racines
    pouvez vous m aider
    Merci

    1. Brigitte

      Bonjour

      0.3% et avec une seule personne, ca ne vous mènera nulle part malheureusement
      Je vous recommande de lire cet article, dans lequel j’explique aussi clairement que j’ai pu la façon de procéder et les étapes nécessaire
      http://www.chroniquesdantan.com/retour-dexperience/retrouver-une-branche-familiale-inconnue-grace-a-ladn-6

      Dites vous que l’enquête peut être longue, très longue
      Bon courage

  4. Bernard

    Bonjour,
    J’ai lu avec attention toutes vos explications, c’est top !

    Dasn mon cas, j’aurais besoin de conseil pour regrouper mes correspondance ADN venant d’un grand-pere non connu…. ?!
    Ma mere a fait le test, et ma soeur aussi… j’ai pu donc « séparér » les correspondances. Mais du coté de ma pere, son pere s’est « X » (donc mon grand pere X)
    Comment « Trier » ? avec les arbres?

    1. Brigitte

      Bonjour et merci pour votre commentaire
      Déjà chez qui avez vous fait le test ? Les outils sont différents selon les sociétés.
      Si vous cherchez une personne spécifique – ici votre grand père paternel inconnu, si je comprends bien – déjà il vous faudra de la chance ou beaucoup de patience.
      Avez vous beaucoup de correspondances avec des segments d’au moins 20 cM ?
      Quoiqu’il en soit, comencez effectivement à séparer vos correspondances ET celles de votre soeur en branche maternelle – celles qui sont communes avec votre mère – et en branche paternelle – les autres.
      Pour les correspondances a priori venant de votre père, si vous etes chez MyHeritage et avez accès à l’outil de triangulation, vérifiez comment ces différentes personnes correspondent entre elles, et triez les ainsi. Vous pouvez utiliser l’outil DNA Painter pour vous aider.
      Ensuite, il faudra aller à la pêche aux arbres – s’ils en ont – ou remonter leurs arbres à partir des informations que vous trouvez.
      Mais si vous en avez la possibilité, il serait bien aussi de faire tester des cousins germains éventuels du côté de la mère de votre père, que vous connaissez. Si elle avait des frères et soeurs qui sont encore vivants, ou qui ont des enfants, essayez d’en faire tester, selon le principe du plus haut possible dans l’arbre – un frère ou une soeur est plus intéressant qu’un neveu – et croisez les correspondances. En principe, les correspondances communes que vous aurez avec ces cousins germains viennent de votre grand mère maternelle.
      Pour celles qui restent alors, elles peuvent venir du grand père inconnu mais aussi de la grand mère.

      Soyez patient, prenez votre temps, et en attendant, faites un arbre généalogique descendant aussi complet que possible à partir de votre grand mère paternelle et de votre branche maternelle. Plus vous aurez de monde connu et vérifié dans votre arbre, plus les correspondances ADN que vous trouverez seront simples à replacer. Cela vous permettra de mettre de côté celles que vous ne placez nulle part. Et si elles sont triangulées, vous aurez peut etre une piste 🙂

      Bonnes recherches
      Brigitte

      PS : Si vous voulez plus d’aide, contactez moi sur mon email à bbksy92 at gmail dot com

      1. gil

        moi j essayerais comme suis pour trouver un père ,je comparerait mon adn avec 2 ou 3 cousin cousine du cote mere et et toute ceux qu on a en commun voudrait dire que cé du cote mere donc toute ceux qui reste serait du cote père ,qu en pense tu Brigitte 🙂

        1. Brigitte

          Bonjour

          Ce n’est pas aussi simple. Ceux que vous auriez en commun sont effectivement du côté de la mère, mais ca ne signifie pas que ceux qui ne sont pas en commun sont obligatoirement du côté du père. Vos cousins germains et vous n’avez que 25% d’ADN en commun, mais pas forcément le même ADN venant du même endroit sur les mêmes chromosomes. Il faudrait tester beaucoup de cousins germains pour limiter les risques d’erreur. C’est juste un indice, pas une certitude. La seule certitude qu’on a, c’est quand on compare ses correspondances significatives – c est à dire de plus de 8 cM par segment, en dessous le risque de faux positif existe – avec les correspondances de sa mère. Si vous avez une correspondance de 20 cM avec quelqu’un qui n’est pas dans la liste de votre mère, c’est du côté de votre père. Donc si vous testez votre mère et tous vos frères et soeurs, vous commencez à avoir une liste assez conséquence de correspondances uniquement du côté de votre père .

          J’espère avoir été claire et ne pas avoir refroidi votre enthousiasme

          Bonnes recherches

          1. gil

            oui Brigitte merci d avoir repondu ,m a continué a travaillé sur mes lien de familles m a surement avoir des question a te pose bientôt 🙂
            ma grand mere et grand père maternel viennent du meme village et ma grand mere et grand père paternel viennent du village voisin. cé assez complexe .

  5. C’est vraiment passionnant, merci encore une fois pour ces partages. J’aime bien l’idée de tout entrer dans le logiciel. Tout cela va m’aider à comprendre tous les résultats reçus, et les correspondances qui arrivent au fil des jours

  6. Beatrice

    Merci mille fois Brigitte pour ce deuxième épisode. Le chemin de l interprétation des résultats est un peu plus clair et va me permettre d avancer dans les correspondances.

  7. Tes enquêtes généalogico-génétiques sont passionnantes !
    Je pense que tes articles seront d’un grand aide pour celles et ceux qui sont un peu perdu avec leurs résultats et les correspondances !

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