Mes vacances au soleil du Sud se terminent, demain c’est le retour dans le Noooooorrrrddd – j’en frissonne déjà de froid – et la reprise des choses sérieuses : mes travaux généalogiques à un rythme moins dilettante.
Jeudi après midi, je vais rendre visite à mes amis les Mormons du Centre d’Histoire des Familles de Versailles, qui ont reçu les microfilms des registres paroissiaux de Ricquewihr que j’ai commandés fin septembre.
Je commence à avoir un peu d’expérience avec le CHF, et je ne vais pas partir aussi peu préparée que les fois précédentes, où mon Ipad n’était pas synchronisé, mes données Evernote étaient sur le cloud, mais pas d’accès 3G dans le local dédié, donc pas de récupération de mes listes, bref un peu un ratage. Petit à petit, je commence à mieux m’organiser sur le plan matériel, maintenant il est temps que j’organise aussi ma visite au niveau de son contenu pour éviter de perdre du temps à chercher ce que je dois chercher quand je suis sur place …..
Donc au programme d’aujourd’hui, entre deux derniers bains de soleil – eh oui, il fait très beau encore sur les rives de la Méditerrannée – organisation sur le fond.
Je pars à la recherche de la lignée qui a donné naissance à Marie Salomé Flach, descendante des Greiner arrivés à Ricquewihr vers 1637. Cette lignée est déjà connue sur internet, j’ai à ma disposition une monographie bien faite, je vais donc confirmer les données par un retour aux actes, et essayer de remonter doucement les autres branches, également de Ricquewihr.
Alors que préparer pour optimiser mon temps :
- Création des lignes de vie des individus que je veux confirmer par les actes
- Recherche des cartes correspondantes – actuelles et Cassini – de la localité
- Documentation paléographique sur les actes en allemand en Alsace, ca c’est la partie qui me fait un peu peur, je déchiffre très très lentement et avec beaucoup de mal les actes en allemand d’avant la Révolution. Il faudra vraiment que je fasse un stage de paléographie allemande rapidement, les branches paternelles de mes enfants ont beaucoup de racines en terres germanophones, et malgré mes études supérieures dans la langue de Goethe, je ne suis pas bien armée pour y être efficace.
Et comme je suis sûre que je n’ai pas pensé à tout – au fur et à mesure je découvre – je lance un appel aux généalogistes confirmés que vous êtes : que dois je aussi préparer pour ne pas revenir avec le sentiment d’avoir encore une fois perdu mon temps ?
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